


Pas grand chose à dire aujourd'hui, grosse semaine de boulot, travailler le dimanche, quel bonheur.
Y'a de la musique, z'avez vu ?
Toujours pas de théories sur ce qui a poussé Matthew à claquer la porte de ce producteur ?
Ah puis, le petit rapprochement pré-concert au goût de trac vous a plu ? Bref désolée il se passe pas grand chose dans ce chapitre. On se rattrapera plus tard.
Ah mais si y'a l'épisode de la photo aussi. Bon.
En musique je vous ai mis un petit Falling Down de Muse parce que j'avais pas d'idées et dans le doute, on prend toujours les classiques.
A la semaine prochaine mes amours, en espérant que je me serais pas suicider avec un cintre entre temps.
Je vous aime
Super-Ringards, Posté le mardi 24 mai 2016 14:25
Hééééééééééé !
Je suis re-là. J'ai vu que tu m'avais répondu mais je vais d'abord m'exprimer sur les deux chapitres que j'ai eu le temps de lire pendant ma pause aujourd'hui (oui, j'ai encore matière à m'exprimer que veux-tu).
Bon il va sans dire que je suis BIEN CONTENTE que ces deux-là se soient réconciliés pour de bon (n'en déplaise à Alex). Même si je présage que ça ne va pas durer et qu'ils ont encore une bonne tonne de sujets de disputes inexplorés.
En plus, ils ont lavé leur linge sale hop hop (merci Miko d'avoir eu un peu de tact pour le coup). Bien que ce soit un peu à double tranchant pour Nelly : elle apprend qu'il a une confiance en elle absolue mais qu'il pense toujours à sa foutue fiancée quand il la voit. Elle va avoir bien du mal à se débarrasser de cette image, la peuvre Nelly. Même quand lui va réaliser qu'il est attaché à elle pour elle, elle doutera toujours; De toute façon, elle a trop peu d'estime d'elle même. Elle se trouve laide tandis qu'elle ressemble à un mannequin, BORDEL. Ok, elle n'est pas la copie conforme d'Angéla, et elle n'a sûrement pas l'attitude d'un modèle, mais si elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau, c'est qu'elle n'est pas laide comme un pou (DU TOUT). Si elle pouvait le réaliser ça m'arrangerait.
Tiens, en parlant de ça, c'est quoi ce vieux plan qu'il nous fait Matt, là ? Tout se joue sur le physique, blablabla. MEC, tu t'es déjà regardé dans un miroir, ou ? Parce que sinon, ça urge. NEVROSE MERDE. (Mais je l'avoue, je l'aime bien, sa névrose. Elle lui donne du charme. Il est entier, vrai, avec cette impulsivité).
Où en étais-je, du coup ? Je me perds dans mes propres commentaires, c'est dire.
AH OUI. Le producteur. Je le soupçonne d'avoir eu des vues sur Nelly, celui-là. Il a dit un truc pas très élégant sur elle, rien de tel pour le faire sortir de ses gonds, l'autre malade. Si ce n'est pas ça, je n'ai aucune idée du pourquoi de ce doigt vulgaire.
Quant au concert ... Comment peut-elle croire qu'il n'a pas le trac ? On voit comme le pif au milieu de la trogne que le fait d'être chiant comme jamais est sa façon à lui d'exprimer le stress. S'il est si pénible et pointilleux, c'est pas pour des croquettes de poulet ! M'enfin, il est trop trognon quand il l'aide à se remettre de son angoisse, le garçon. C'est là qu'on se rend compte à quel point le type se voile la face.
BON. J'ai fait le tour. Désolée t'as encore du boulot ma vieille, hahaha.
Malkusexe !
Speedy
(Je crois que je suis épiée par une bande d'écureuil. J'vais appeler Giorgio pour vérifier)